Relations avec les entreprises.
Deux ans pour faire exécuter une réparation !
Monsieur L. commande début octobre 2012 un insert de cheminée de marque Godin dans un magasin spécialisé du Pays de Caux (le même que ci-dessous) pour un montant de 3540 €.
L’insert est posé fin décembre.
En février 2013, Monsieur L. constate que la peinture du bas de la porte s’écaille et la porte rouille, il informe le vendeur, rien aucune réaction !
Dans les semaines qui suivent, Monsieur L. passe au magasin pour relancer le vendeur. Rien !
En septembre, Monsieur L. reçoit copie d’un échange d’emails entre le fabricant et le vendeur, Godin veut bien fournir la peinture et indique que l’intervention sous garantie doit être faite par le vendeur. Sans suite !
En novembre, Monsieur L. envoie une lettre recommandée avec AR au vendeur, cette lettre lui reviendra avec la mention non réclamée.
Fin novembre, Monsieur L. vient nous rencontrer à l’une de nos permanences.
En décembre, nous adressons une lettre recommandée avec AR au vendeur, rien aucune réaction !
En février 2014, nous écrivons au fabricant, rien pas de réponse.
Dans les semaines qui suivent, à plusieurs reprises, nous relançons le vendeur par téléphone, à chaque fois la même réponse, le Directeur n’est pas là, le responsable du SAV non plus, nous allons transmettre, nous reprendrons contact…
Le fabricant contacté, lui aussi par téléphone, réaffirme sa position, il fournit la peinture, mais ce n’est pas à lui d’intervenir chez notre Adhérent, c’est le vendeur qui doit le faire.
Fin juin, nous conseillons à notre Adhérent de s’adresser au juge de proximité.
Début octobre 2014, Monsieur L. se présente à une consultation d’un médiateur de justice pour prendre avis. Le médiateur appelle le Directeur du magasin et lui indique que son client, monsieur L. va demander l’intervention de la justice pour régler ce problème. Promesse est alors faite d’intervenir.
Dans la même semaine, l’insert de notre Adhérent sera remis en état.